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Camp d'été 2014 de GEN-Suisse

Nous avons passé quatre inoubliables journées à Masesselin, dans le Jura, à la rencontre de GEN-Suisse (Global Ecovillage Network).

Quels bons souvenirs de dormir sur la paille (au fait, c'était du foin qui sentait si bon!), d'être réveillé par le cor des Alpes...

... Et surtout du magnifique cercle des arbres où nous avons dansé, joué et cherché les énergies subtilles...

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Un grand merci à Nicolas et toute la communauté des Fermes Libres du Jura, à l'équipe de GEN-Suisse, et aux personnes qui ont joué les traducteurs! A bientôt!

La sanction éducative par Philippe Beck

Je viens de découvrir cet entretien avec Philippe Beck, auteur du livre "Eduquer sans punition, la sanction éducative en pratique", qui animera le stage "Sortir de la punition", les 13 et 27 septembre 2014 à la Maison Verte:

Voici aussi un article, paru dans Migros Magazine du 10 mars 2014, qui présente Philippe Beck et la sanction éducative:

Une sanction vaut mieux qu'une punition

Souplesse et rigueur valent mieux que colère et laisser-faire. Pour aider les enfants à bien grandir, Philippe Beck, formateur d’adultes, propose une autre voie: la sanction intelligente. Décodage.

Ballottés entre différents préceptes, les parents d’aujourd’hui ne savent plus où donner de la baguette. Si le châtiment corporel est banni, le laisser-faire soixante-huitard n’a plus la cote non plus. Entre deux, la marge de manœuvre est suffisamment grande pour que l’on y perde ses nerfs. Alors, comment faire face intelligemment à l’insolence, aux refus et aux crises diverses et multiples qui jalonnent le parcours de l’enfance?

Sans violence et sans punir, répond Philippe Beck, formateur d’adultes dans toute la Suisse romande et auteur d’Eduquer sans punition (Ed. Jouvence, 2013).

La violence, qu’elle soit verbale ou physique, n’est jamais une fatalité mais toujours un risque.
D’accord. Mais faut-il pour autant laisser les enfants naviguer à vue, les doigts dans le nez et le compteur illimité devant l’écran des jeux vidéo? Pas du tout. Pour le médiateur, il s’agit au contraire de prendre du recul pour mieux éduquer. Et surtout de remplacer la punition par la sanction. Charabia de spécialiste?

La punition fait souffrir, elle est animée par une volonté de faire mal et d’humilier. Alors que la sanction n’a pour but, comme son nom l’indique, que de resanctifier la règle, de rappeler les repères. Il ne faut pas rabaisser les enfants, mais les élever.

La sanction éducative permet d’éviter une partie des récidives

Pour éviter de monter les tours et d’entrer dans un perpétuel rapport de force. Pour ne pas tomber dans les réactions émotionnelles, qui font resurgir les vieux automatismes et les mauvais réflexes, mieux vaut parfois prendre le temps de trouver la bonne réponse. Celle qui aidera l’enfant à grandir plutôt qu’à l’enfoncer. «Ça ne veut pas dire être moins sévère, mais être sévère juste, rappelle Philippe Beck. Et puis, la pratique de la sanction éducative évite une bonne partie des récidives. C’est investir du temps au début pour en gagner ensuite.»

Plus facile à dire qu’à faire? La sanction éducative en cinq exemples pratiques:

  • Mes enfants ne veulent pas quitter l’écran
  • Mon fils mange comme un cochon
  • Mon ado vit dans un capharnaüm
  • Les jeux se terminent en pugilat
  • Mon enfant fait une crise au magasin

(suite à consulter sur la page de Migros Magasine)

Film: La possibilité d'être humain

Thierry Kruger et Pablo Girault, auteurs de "Sous les pavés, la terre !" nous livrent ici un « docutopique » sur la société postmoderne.

Nous faisons tout d'abord la découverte des prémices de l’humanité à travers les outils primitifs et l’art. Ensuite tout comme notre société moderne, le film opère un basculement : l’agriculture et son évolution, la révolution industrielle et la nouvelle ère techno-scientiste. Nous entrevoyons alors le travail, en particulier le salariat intimement lié à la (sur)consommation, derrière les machines et la technique. Le consumérisme est-il indissociable de notre monde ? Quelle est la place du travail ? L’écologie sincère peut-elle faire le poids face au greenwashing? L’argent est-il encore un moyen ? Telles sont les questions posées par ce film.

Agir ensemble, sans attendre - La Liberté du 27.6.14

Article paru dans La Liberté du 27 juin 2014 qui présente les Initiatives de Transition et parle de la Maison Verte:

Agir ensemble, sans attendre

Page Jeunes - Ecologie • Le mouvement «Initiative de transition» fleurit dans notre région. Dans ses bagages, une éthique mêlant solidarité et économie locale. Exemple à Romont.

VALÉRIE VUILLE  27.06.2014

Le jardin partagé à Romont, entre permaculture et rencontre. © Valérie Vuille

En se baladant près des remparts de Romont, les curieux peuvent apercevoir un lieu étonnant: un jardin partagé, écologique, mais surtout communautaire. Plus loin, à côté de la gare, Croqu’terre distribue des denrées provenant d’une agriculture locale et environnementale dans des paniers. Tous ces projets s’allient au courant de pensée Initiative de transition, et ce ne sont pas les seuls.

Le concept d’Initiative de transition est créé en septembre 2006 à Totnes, en Grande-Bretagne, par Rob Hopkins, enseignant en permaculture. Il a pour but de préparer la transition «de la dépendance au pétrole à la résilience locale», sans attendre une révolution politique. «C’est une partie des outils de la permaculture, adaptés aux villes pour réunir du monde derrière un engagement», explique Valentine Meylan, qui pratique cette forme de jardinage particulière. Mais la permaculture, c’est quoi au juste? «Il s’agit premièrement d’une éthique: prendre soin de l’humain, de la terre et partager le surplus, explique-t-elle. Le tout est soutenu par des recherches et des découvertes sur la nature et le jardinage.»

Communauté solidaire

Dans le canton de Fribourg, plusieurs projets peuvent se rattacher indirectement au mouvement. Premiers arrivés, les SEL (Systèmes d’échange locaux) permettent d’échanger des services sans utiliser de l’argent. Ils sont présents non seulement en Glâne, mais aussi à Bulle ou encore à Fribourg. Chaque heure de service équivaut à vingt unités d’une monnaie virtuelle. Une fois comptabilisées, les vingt unités récoltées pourront à leur tour être échangées. Une communauté de troc est ainsi créée.

Glâne Ouverte est née en continuité de ces projets alternatifs. «Je trouvais que ce que nous faisions avec les SEL se limitait à notre bien-être, explique Mim Meilland, initiatrice de l’association. Je voulais essayer de faire quelque chose pour notre région.» Elle s’est directement inspirée de l’Initiative de transition, sans pour autant faire du copier-coller. «J’ai été séduite par l’idée de pouvoir agir, sans attendre que cela vienne d’en haut, explique-t-elle. Nous avons repris les idées et fait à notre sauce.»

Des premières discussions, une association à but écologique, local et solidaire s’articule. «Nous avons des membres de tous horizons et de tous âges, qui partagent la même ambition», explique Catherine Monnard, actuelle présidente de l’association. Elle agit en lançant des projets discutés lors de forums ouverts. «Nous avons pour l’instant organisé deux forums, «des semences à l’assiette», et un sur nos modes de financement», explique la présidente. Quatre projets sont nés du premier forum, la distribution de paniers Croqu’terre, le jardin partagé, les écovillages et la banque de semences.

Cultiver ensemble

Exemple typique, le jardin partagé près des remparts de Romont mêle l’écologie, le développement durable et l’échange. «Les personnes partagent un jardin, explique Catherine Monnard. Ils le cultivent ensemble, avec bien sûr des méthodes respectueuses de la nature. Une fois arrivées à maturité, les récoltes sont réparties entre les membres.»

Et ce n’est pas tout, car les projets et initiatives foisonnent: la Maison verte à Romont, dirigée par Mim Meilland, propose par exemple des formations et des activités diverses, ainsi que des locaux à louer.

Vidéo: Saga cité

Voici une animation canadienne super sympa sur l'avenir possible des villes:

Saga Cité - Nos collectivités face aux changements climatiques from VIVRE EN VILLE on Vimeo.

Face aux défis des changements climatiques, l’urbanisme et l’aménagement ont un rôle majeur à jouer. En définissant la forme des collectivités à l’origine des habitudes de vie des populations ils permettent de réduire à la source les émissions de gaz à effet de serre. Les enjeux liés à l'aménagement du territoire et à l'urbanisme restent cependant méconnus. SAGA CITÉ vous invite à en découvrir plus à travers l’histoire de la ville de Colvert.

Une apicultrice hors normes à la Maison Verte

La Liberté du lundi 16 juin a publié un article sur Francine Golay qui donnera la conférence "A l'écoute de l'abeille" mardi prochain, 24 juin 2014 à 20h, à la Maison Verte.

Adepte de la biodynamie, Francine Golay n’élève pas ses abeilles pour le miel. © Vincent. MurithUne apicultrice hors normes

abeilles • Francine Golay élève ses abeilles pour les aider à se battre contre les maladies. Elle dénonce l’utilisation des pesticides et prône une apiculture sauvage mais contrôlée.

KESSAVA PACKIRY

Francine Golay n’est pas une apicultrice comme les autres: elle élève ses abeilles non pas pour le miel, mais pour essayer de combattre les maux qui entraînent inexorablement le déclin de l’insecte. Et elle n’est pas optimiste, comme elle le fait entendre dans ses nombreuses conférences qu’elle donne pour alerter l’opinion publique: «Partout dans le monde l’abeille s’éteint! On le sait. On parle beaucoup, mais on ne fait rien!»

Le varroa n’est pas le seul responsable, insiste la Broyarde établie à Cheyres. «Il n’est que la pointe de l’iceberg.» Le parasite venu d’Asie doit sa puissance destructrice à l’affaiblissement de l’abeille. Un affaiblissement dû à plusieurs facteurs. Dont l’utilisation abusive de pesticides. «C’est tellement facile de nettoyer sa place de parc ou de traiter son jardin avec un herbicide», déplore Francine Golay, qui travaille selon les principes de la biodynamie depuis 25 ans.

Mais il n’y a pas que les particuliers qui sont dans le collimateur de Francine Golay: les agriculteurs le sont aussi. «J’ai pu observer de nombreux insectes de la faune sauvage porter des malformations aux ailes au même moment que mes abeilles. Il y a une relation de cause à effet avec l’utilisation de pesticides.»

«Interdire tous les pesticides»

Il y a peu, Greenpeace rappelait d’ailleurs que 172 colonies d’abeilles avaient été anéanties dans l’Emmental, en raison de pesticides extrêmement nocifs pour les butineuses et utilisés dans l’agriculture. L’organisation de défense de la nature saluait alors l’annonce faite par la Confédération de lancer l’élaboration d’un plan d’action pour réduire les pesticides. Tout en précisant: «Il est urgent d’interdire immédiatement les pesticides les plus nocifs.» Pour Francine Golay, cette demande est trop faible: «Ce sont tous les pesticides qu’il faut interdire!»

Photos à l’appui, elle montre les dégâts que les produits peuvent causer: des abeilles qui naissent sans antennes, ou avec des malformations alaires… «Quand une butineuse revient à la ruche souillée par un pesticide, elle se fait lécher par les autres. Ce qui introduit le pesticide dans toute la colonie. Quand elle revient avec du pollen intoxiqué, c’est une bombe à retardement pour le couvain dont c’est la nourriture! Vingt-deux jours après, les malformations apparaissent clairement, spécifiques à chaque pesticide.»

De plus, les pesticides s’attaquent au système nerveux, ou entraînent l’infertilité. «Ça ne touche pas que les abeilles. Toute la faune est menacée. Cela fait 25 ans que j’observe et que je vois basculer les choses. Il n’y a plus de guêpes près de chez moi, plus de coccinelles, plus d’oiseaux chanteurs… Cela fait deux ans que je n’entends plus le rut du renard.»

Lui laisser le choix

Francine Golay, qui prône une apiculture sauvage mais contrôlée, cite également dans la partie immergée de l’iceberg l’apiculture moderne. «Il y a cent ans, l’initié Rudolf Steiner disait déjà que l’abeille allait disparaître si nous persistions à pratiquer une apiculture visant à produire le plus de miel, misant sur les croisements. «On ne doit pas imposer nos règles à l’abeille. Quand on lui laisse le choix, on constate qu’elle ne fait pas du tout ce que nous aimerions qu’elle fasse. Mes abeilles vivent selon leur propre loi. Et il y a une sélection naturelle qui se fait. Je les laisse se reproduire par essaimage, et non par insémination artificielle. C’est comme si on voulait perpétuer la race humaine par insémination. C’est une aberration. Et on se retrouve avec les dérives actuelles. Avec un affaiblissement terrible de l’abeille.»

Or, pour que l’insecte puisse affronter les maladies, il lui faut d’abord avoir la santé. Raison pour laquelle Francine Golay ne récolte pas son miel, mais le laisse à ses protégées. «Le miel est le concentré de toutes les qualités pharmaceutiques des plantes officinales butinées. Quand en juin on leur prend le miel et qu’on leur donne du sucre à la place, ce n’est pas bon: le sucre n’est pas digeste pour elles. Cela n’a rien à voir avec le nectar. Elles ont au contraire besoin de leur miel, le fruit de leur travail des derniers mois.»

Pour sauver ses abeilles, Francine Golay teste également depuis plusieurs années des produits homéopathiques qu’elle met elle-même au point. Avec succès: elle n’avait plus de varroas dans certaines colonies. Mais ça n’a pas empêché l’apicultrice de perdre treize de ses quinze colonies d’un coup, à cause d’un insecticide contre le ver de la cerise, utilisé dans le voisinage. «Si on ne veut pas comprendre, il n’y aura plus rien. Les espèces s’éteignent par palier. Pour l’abeille, on a atteint le dernier palier.» I

> Francine Golay donnera ses deux prochaines conférences à Romont (La Maison Verte, le 24 juin à 20 h, pour tout public), ainsi qu’à Yverdon (à la cabane des chiens, le 30 juin à 20 h 15, pour les apiculteurs).

Certified by Gaia Education

Après de longs mois de procédure, pendant lesquels nous avons dû préparer plusieurs documents, répondre à une quantité de questions et attendre, la bonne nouvelle est enfin arrivée! Notre projet de formation Design de Systèmes Durables à la Maison Verte a été approuvé et nous avons avons reçu la certification officielle de Gaia Education:

gaiacertprogramme

Les participants ayant réussi la formation Design de Systèmes Durables recevrons un diplôme reconnu internationalement. Le cursus de Gaia Education est une contribution officielle à la Décenie des Nations Unies pour l'Education au Développement Durable 2005-2014. Gaia Education est associée au Réseau Mondial des Ecovillages (GEN).

Cette formation holistique et universelle a déjà séduit plus de 3700 personnes dans 34 pays sur 6 continents depuis 2006. La formation qui commence en septembre 2014 à la Maison Verte sera la première en français! Nous nous réjouissons de vivre cette aventure avec vous!

Plus de détails sur la formation certifiante Design de Systèmes Durables >>>

Rencontres en 4 Dimensions au Festival de la Terre

Vendsdez nous rencontrer au Festival de la Terre à Lausanne! Nous animerons des ateliers de rencontres pour créer des liens et découvrir les dimensions sociale, écologique, économique et culturelle des systèmes durables.

Vendredi 13 juin: 12h-20h
Samedi 14 juin: 12h-20h
Dimanche 15 juin: 12h-18h

Les activités gratuites d'environ 15 minutes auront lieu toutes les demi-heures. C'est une occasion de faire connaissance avec des personnes intéressées par des sujets écologiques et d'apprendre plus sur les systèmes durables. A bientôt!

La deuxième vie des choux

Avez-vous déjà laissé vos choux vivre une deuxième année?

chou_repousser2

Je ne coupe jamais un chou trop bas, je lui laisse une chance de reprendre. De cette façon je peux avoir 2 récoltes de choux pointus, par exemple. Parfois le chou revit même si le tronc a bien séché et le cas semble désespéré. Si un chou n'a pas atteint une taille satisfaisante, je ne le récolte pas, je le laisse passer l'hiver au jardin.

Un des principes de la permaculture est un élément - multiples fonctions. La deuxième année des choux est réservée à la multiplication mais je trouve que ça vaut vraiment la peine de les laisser au jardin où ils seront utiles de différentes façons:

  1. Légume pendant l'hiver et tôt au printemps. Quand l'hiver est doux, les choux continuent à grandir. De cette façon, j'ai pu me régaler de gros choux blancs au mois de mars. Même s'ils ne font pas de têtes, leurs feuilles peuvent toujours être cueillies et cuisinées.chou_choucroute
  2. Matière verte pour des buttes auto-fertiles. Au début de l'année, nous avons préparé plusieurs buttes et la matière verte commençait à manquer. L'herbe n'avait pas encore poussé mais grâce aux grandes feuilles des choux nous avons pu assurer l'équilibre matière brune - matière verte.
  3. Jolies fleurs jaunes. C'est vrai que le jaune est ma couleur préférée mais je trouve que les choux fleuris sont beaux et gais quand il ne pousse pas encore grand chose au jardin. chou_fleurs2
  4. Fleurs comestibles. Les fleurs de chou ont un goût de ... chou! Je les adore, j'en mets dans mes salades et je les grignote comme des petits fruits en attendant l'apparition des baies rouges.
  5. Fleurs pour abeilles. Je ne suis pas la seule à apprécier les fleurs 😉
  6. Nourriture pour limaces. Les limaces adorent les brassicacées, je suis contente d'en trouver plus sur mes vieux choux que sur mes plantons!
  7. Nourriture pour pucerons. Tant pis pour ce vieux chou-rave, ça favorisera les coccinelles! chou_pucerons
  8. Nourriture pour rongeurs. Des rongeurs sont venus chercher et ramener dans leur trou plusieurs des tiges à fleurs de ce chou. Je préfère qu'ils mangent ça plutôt que les petits pois juste à côté...chou_campagnol
  9. Réservoir d'eau. Sur la photo précédente, on peut voir (difficilement) la flaque d'eau accumulée dans la feuille 🙂
  10. Plante vivace. La plupart des choux sont bisannuels, au moins officiellement. Mais j'ai un colrave qui est à sa 3ème année dans mon jardin. La première année il n'avait pas assez grossi et je ne l'avais pas mangé. L'année passée, il a fleuri et après il a fait 5-6 têtes, j'ai mangé les plus grandes. Cette année il est de nouveau en fleurs, on verra la suite! chou_3ans
  11. Faire ses semences. J'allais oublier, si vous faites fleurir une seule sorte de chou, vous pouvez récolter les grains pour faire vos plantons. Personnellement, j'ai au moins 5 sortes de choux en fleurs en ce moment mais je me demande si je ne vais pas faire des tests avec les grains, malgré le risque de croisement. Qui sait, peut-être que je découvrirai une nouvelle sorte de chou!
  12. (ajout 25.06.14) Graines à germer. Les graines de chou germent facilement et sont excellentes dans les salades. Les croisement ne sont pas un problème, c'est la quantité qui compte pour cette utilisation. Je pense que j'en aurais un stock pour l'hiver 😉